LA CHAPELAINE - KARATÉ
Site officiel : http://www.alck.fr

Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à contacter :

Pascal BOCQUEL
Président du club
Tél : 02-51-81-57-17
Adresse mail: president@alck.fr

Josy MAUGUILLET
Secrétaire du club
Tél : 06-82-70-95-27
Adresse mail: secretariat@alck.fr

Saison 2019-2020 : dates de reprise des cours

Reprise des cours Adultes 

  • mardi 27 août à 19h15 dans le dojo (ceintures noires)
  • jeudi 29 août à 18h30 dans le dojo (cours adultes tous grades)
  • samedi 31 août à 10h00 dans le dojo (cours commun adultes tous grades)

Puis jours, horaires et lieux habituels à partir de la semaine suivante

Reprise des cours Ados

  • mercredi 11 septembre de 15h15 à 16h30 au dojo

Reprise des cours Enfants

  • mercredi 11 septembre à 18h00 à 19h00 dans la salle de gym de La Coutancière

http://www.alck.fr/infos-pratiques/inscription/

 

 

 

VIE DU CLUB



Le Kobudo compte 18 membres au sein du club

Historique du karaté Shotokan :


KARATE-DO signifie : KARA TE DO le vide la main la voie

C’est à son fils Yoshitaka, qui fut également un maître extraordinaire, que l’on doit les coups de pieds les plus spectaculaires du KARATÉ.

« Main vide de toute arme et de toute mauvaise intention », épanouissement physique et spirituel de l’individu, une recherche de sérénité au travers d’une technique guerrière (martiale)

FUNAKOSHI écrivait : « Comme la surface polie d’un miroir reflète tout ce qui est devant lui, et comme une vallée calme transmet les sons les plus faibles, ainsi l’étudiant en karaté doit vider son esprit de l’égoïsme et de la méchanceté, dans un effort pour réagir d’une manière appropriée à tout ce qui peut se présenter à lui. »

 

 

Les origines

Il est de bon ton de trouver ou de situer les origines du KARATÉ vers le 6ème siècle en Chine, où un moine Bouddhiste venu des Indes et nommé Bodhidarma aurait mis au point une technique de combat avec les pieds et les poings. Puis on retrouverait trace de cette technique de combat au 16ème siècle à Okinawa.
Mais de tous temps et dans tous les pays du monde, les hommes ne se sont-ils pas toujours battus ? Et en l’absence de toute arme que reste-t-il à l’homme pour combattre sinon les pieds et les poings ?
Gichin Funakoshi (1868 - 1957)Le Karaté fait son apparition en France vers 1950.

Puis c’est l’ascension :

  • 1954 Création de la Fédération Française de Karaté et Boxe Libre.
  • 1960 La FFKBL est « priée » de rentrer au sein de la toute puissante Fédération Française de Judo.
  • 1966 Création de l’Union Française de Karaté, toujours contrôlée par le FFJDA
  • 1977 L’UFK se transforme en Fédération Française de Karaté et Arts Martiaux Affinitaires FFKAMA et reçoit enfin la délégation de pouvoir ministériel et se voit déclarée seul organisme officiel chargé d’organiser et d’enseigner le Karaté

 La FFKAMA devenue Fédération Française de Karaté et Disciplines associées FFKDA regroupe aujourd’hui environ 200000 licenciés.

Page mise à jour le 21/10/2019

 Entraînements : 
Salle de gymnastique de la Coutancière
  • Le Lundi de 19h15 à 20h45
  • Le Mardi de 19h15 à 21h00
  • Le Mercredi de 18h15 à 21h00
  • Le Samedi de 10h30 à 12h30
Salle des arts martiaux de la Coutancière
  • Le Mercredi de 15h00 à 17h00
  • Le Jeudi de 18h30 à 20h00
  • Le Samedi de 09h00 à 13h00

 Bureau du Club : 
Président : Pascal BOCQUEL
Secrétaire : Josyane MAUGUILLET
Trésorière : Anne MARTIN



 Évènements :  

 News :  

2011Mars24
KOBUDOLa Chapelaine - KaratéLe club comptait la saison passé 6 licenciés en Kobudo, il a commencé seulement avec 3 licenciés. Cette saison le club compte 18 licenciés sur cet art martial. Certains sont des karatékas du club, mais ils représentent 1/3 de l'effectif.

LES ORIGINES DU KOBUDO D'OKINAWA

Kobudo signifie littéralement « Art martial ancien » mais également « Art d'un comportement spirituel vis-à-vis du combat ». Le Kobudo d'Okinawa a connu une évolution parallèle au Karaté. L'archipel des Ryu-Kyu, dont Okinawa est l'île principale, fut, dans les temps anciens, le théatre de guerres fratricides (quel pays n'a pas connu, dans son histoire, de luttes de clans, d'ethnies ou de religions ?). Ensuite l'archipel fut occupé à plusieurs reprises par les Chinois puis les Japonais. L'histoire du peuple d'Okinawa est celle de beaucoup de petits pays. C'est l'histoire de l'invasion, de l'occupation, de la terreur et de l'oppression. Pendant de nombreux siècles, la vie des habitants a été émaillée de pillages, de massacres et d'injustices en tout genre. Les guerriers, eux, étaient « équipés » pour se battre. Mais la plus grande partie de la population vivait de la terre ou de la pêche. Les moyens qu'elle avait alors pour se défendre, en plus des pieds et des poings (armes naturelles, soit, mais inefficaces contre un sabre, une lance ou des flêches), furent les objets de leur vie quotidienne, outils agricoles ou domestiques. Des techniques de défense, très rudimentaires jusqu'alors, commencèrent à prendre de l'ampleur et à être « enseignées » particulièrement suite aux invasions japonaises du 17ème siècle. Victimes de la domination étrangère et frappés de l'interdiction de posséder des armes pour éviter toute rébellion, les autochtones eurent la nécessité d'organiser leur résistance. A mains nues ou avec leurs « outils », des entraînements particulièrement rigoureux s'effectuaient alors en cachette, généralement la nuit et de manière très réaliste, avec, en toile de fond, l'idée permanente de vie ou de mort. C'est ainsi, par exemple, que la rame du pêcheur décapita nombre d'assaillants, que le Sai (seule "arme" autorisée pour les policiers Okinawaïens) brisa les lames de sabre des Samouraïs, que le Tunkuwa devint redoutable dans des mains expertes et que le fléau fit des ravages parmi l'envahisseur. Malgré la rusticité des armes employées, des techniques de plus en plus sophistiquées et efficaces virent le jour. Des empreints aux arts guerriers chinois ont bénéficié au Kobudo (Kobu-Jutsu) ainsi qu'au Karaté (Karaté-Jutsu). Okinawa est un des rares endroits où l'ingéniosité et la créativité guerrière ont été mises à profit avec tant de ferveur et surtout aussi peu de moyens (en comparaison des véritables armes de l'époque). Espoir d'une population opprimée, le Kobudo a été pratiqué de génération en génération, jusqu'à nos jours où il représente une grande richesse culturelle. Créé à partir d'outils ancestraux et de la volonté de survivre, le Kobudo fait partie intégrante de l'héritage culturel et martial d'Okinawa. Ceci explique que nombre d'experts Okinawaïens de Karaté pratiquent à des degrés divers le Kobudo. Jusqu'à une date très récente le Kobudo d'Okinawa est resté plus ou moins secret. Sa diffusion en tant qu'«Art de paix » ne s'est faite au Japon qu'au début du 20ème siècle, et dans le reste du monde après la seconde guerre mondiale. Guerre qui fut le théatre, une fois encore, de combats intenses. La moitié de la population civile d'Okinawa périt, dont de nombreux experts de Kobudo et de Karaté. Toutes les techniques développées avec ces armes furent testées et perfectionnées au cours de combats... pour la vie. Leur efficacité n'est donc plus à démontrer. Devenues inutiles face aux armes modernes, elles permettent en temps de paix de perpétuer le souvenir de ces hommes et ces femmes qui n'avaient qu'un but : défendre leurs biens, leur vie ou leur honneur. En passant de Kobu-Jutsu à Kobudo elles sont également aujourd'hui un support pour la réalisation de soi, une Voie.

Ces techniques sont arrivées jusqu'à nous grâce à Maître Shinko MATAYOSHI et son fils Shinpo.

Né en 1888 dans la ville de Naha, Maître Shinko MATAYOSHI commença, dès son enfance, à étudier le BÔ, l'EKU, le KAMA et le SAI, sous la direction du Maître Shokuho AGENA. Puis le TUNKUWA et le NUNCHAKU avec le Maître IREI. Au début du siècle, il entreprit d'approfondir ses connaissances en arts martiaux, en faisant un grand voyage à travers toute l'Asie de l'Est. Il apprit l'équitation, le lancer de couteau et le lasso, en Mandchourie, avec un cavalier brigand. A Shanghaï il rencontra le vieux Maître Chinois KINGAI qui l'initia à l'art du TIMBE, du SURUCHIN et du NUNTI, ainsi qu'à la médecine chinoise et à l'acupuncture. En 1929, il regagna temporairement le Japon à l'occasion d'une grande cérémonie organisée en l'honneur de l'Empereur MEIJI. Cérémonie au cours de laquelle Gichin FUNAKOSHI présenta le Karaté et Shinko MATAYOSHI le Kobudo. Il rentra à Okinawa en 1935. On le surnommait Matêshi SENBARU ("main de faucille"). Il poursuivit son étude des arts martiaux avec des Maîtres Okinawaïens. Expert en Kobudo, il consacra le reste de sa vie à l'enseignement de son art, ainsi qu'à la pratique de l'acupuncture. Il s'éteignit en 1947, à l'âge de 59 ans.
Après la guerre, son fils, Maître Shinpo MATAYOSHI, entreprit d'enseigner le Kobudo à Kawasaki, au Japon. Art que lui avait enseigné son père dès l'âge de 7 ans. Rentré à Okinawa en 1960, il poursuivit son enseignement dans le dojo du vieux Maître Seiko HIGA (du style Goju Ryu) ; lequel l'avait initié au Karaté dans son enfance. Puis ouvrit un dojo de Kobudo, qu'il baptisa KODOKAN, en mémoire de son père (Ko). Pour que le Kobudo puisse être transmis à travers le monde, il fonda, en 1970, l'Association de Kobudo des Ryu-Kyu, qui devint, deux ans plus tard, la Fédération du Kobudo d'Okinawa (« All Okinawa Kobudo Renmei »). 10ème Dan de Kobudo et 10ème Dan de Karaté, il reçut au Japon le titre rarissime de « trésor impérial vivant ». Incarnant véritablement l'âme du Kobudo traditionnel d'Okinawa.Après avoir considérablement oeuvré pour faire connaître le Kobudo au delà du Japon, il s'éteignit en 1997, à l'âge de 74 ans.

Maître Kenyu CHINEN, élève de Maître Shinpo MATAYOSHI et délégué officiel, pour l'Europe, de la Fédération du Kobudo d'Okinawa, transmet cet enseignement traditionel au travers de son école : « OSHU KAI INTERNATIONAL ».
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2011Février11
DEROULEMENT D'UN COURS ADULTESLa Chapelaine - KaratéUn cours adultes après l'échauffement commence par une série de kion (mouvements d'attaque ou de défense dans le vide).

Nos débutants cette saison sont toujours présents et sérieux

Après le kion on pratique un travail à deux ou un combat souple. Les gradés sont mélangés dans ce cours avec les débutants

Le cours se termine par les katas (suites de mouvements réalisés dans le vide suivant une codification bien spécifique au karaté shotokan)
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2011Février03
La jeunesse de la CHAPELAINE KARATELa Chapelaine - Karaté Notre groupe de jeunes de 12/16 ans encadré par Christian DESCAMPS 5ème Dan Brevet d'Etat 2ème degré se porte bien. Malgré un nombre peu élevé d'élèves, le groupe est très homogène ce qui lui permet de voir des techniques supérieures, ainsi que certains kata réservé aux 1ère Dan.
Notre groupe de jeunes de 8/12 ans encadré par Michel BALLAY 3ème Dan diplôme d'Instructeur Fédéral et aussi professeur de Kobudo. Ce groupe avance progressivement, nos jeunes sont très attentifs et ils sont trés curieux.


Le professeur est aidé quand elle le peut par une assistante fédérale des arts martiaux. Une de nos jeunes qui a passé son diplôme en octobre 2010 auprès de la ligue.
Cette jeune de 16 ans essaie d'être présente mais avec les études il est difficile de concilier les deux. Bonne continuation à eux tous.
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2011Janvier02
MEILLEURS VOEUX POUR 2011La Chapelaine - Karaté Je vous souhaite mes meilleurs voeux pour 2011. Que cette année soit pour tout le monde une très bonne année sportive. Je vous souhaite une bonne santé afin d'atteindre vos objectifs sportifs et personnels. Le Président HORRILLO Thierry 0 commentaire
2010Décembre05
2 nouvelles ceintures noires au clubLa Chapelaine - Karaté
Après de longues heures à l'entraînement avec leurs professeurs, Karine et Jean-Baptiste ont réussi hier leur passage du 1er Dan, cela correspond à la ceinture noire.

Sur le 3 candidats présentés par le club, deux l'ont obtenu. Le troisième a acquis une unité de valeur.

Bravo à eux.
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